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 PAROLES DE RECONCILIATION

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Soustara
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Soustara


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MessageSujet: PAROLES DE RECONCILIATION   PAROLES DE RECONCILIATION Icon_minitimeSam 1 Juil - 17:37

Essalamou alaikoum..

L'aide-président Bouteftifa vient de répondre par des paroles reflétant le fond de sa pensée envers la reconciliation et ses bénéficiaires, les forces du mal du pays cad armée, police, gendarme et S.M ne sont pas concernées par cette phrase, considérées par Bounta comme les sauveurs de la nation.
Seul hic avec cette phrase non considérée par son auteur, c'est que lui-même est un criminel puisque son parti l'a accusé d'avoir soulagé l'Etat Algérien de 32 millions de $ en 1980, et 26 ans après il ne s'est jamais justifié.

.Malgré le rappel à l’ordre du président
Layada défie à nouveau l’État

Par : Samar Smati, Liberté, 1 juillet 2006

Dans des déclarations faites au New York Times, Abdelhak Layada et Ali Benhadjar s’en prennent à la charte.

Trois mois à peine après sa libération à la faveur de la mise en œuvre des dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, Abdelhak Layada fait une nouvelle fois parler de lui. Faisant fi des dispositions de la même loi qui a permis son élargissement, le fondateur et premier “émir” du GIA n’en démord pas dans des déclarations au New York Times (NYT). Le pays aspire toujours, affirme Abdelhak Layada, cité par le NYT, à “l’établissement d’un État islamique”. Une aspiration soi-disant populaire et qui lui sert surtout comme justificatif à un appel du pied pour la réapparition du parti dissous. “Laissez-nous organiser notre parti politique et nous verrons à quel point il sera fort”, déclare-t-il dans un article publié sur la réconciliation nationale. Sans réconciliation “vraie”, qui inclurait donc un retour sur la scène politique, Abdelhak Layada avertit que les “tensions” qui ont généré la violence des années 1990 peuvent s’exacerber à nouveau. “Les blessures ne seront pas vraiment guéries sans vrai règlement politique”, professe-t-elle.
Le fondateur du GIA se permet dans ce contexte d’avertir, selon le NYT, qu’“à moins que l'État n'accède au vœu du peuple d'avoir un gouvernement basé sur la loi islamique, il va les pousser à se soulever à nouveau”. “Le gouvernement se trompe lui-même et trompe le peuple quand il prétend que la violence a pris fin”, soutient Layada se référant aux attaques terroristes et à la position du Groupe Salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), qui a rejeté la réconciliation nationale. “Demandez aux autorités si elles peuvent les arrêter. Quand on laisse un petit feu brûler, il peut s'étendre”, a-t-il déclaré,“avec un large sourire”, au journaliste du New York Times. Abdelhak Layada n’est pas le seul, selon le NYT, à faire une “évaluation pessimiste” de la réconciliation nationale approuvée par référendum populaire le 29 septembre 2005 et mise en œuvre, il y a trois mois. Ali Benhadjar, ancien membre du GIA et chef de la Ligue islamique pour la daâwa et le djihad à l’Ouest, estime qu’avec la charte, le gouvernement “ne s’est pas attaqué aux origines du problème”. “Cette réconciliation sert le régime”, soutient Benhadjar. “Ils ont juste donné de l'argent aux personnes en leur disant de rester tranquilles”, déclare Ali Benhadjar qui estime au passage que “ce n’est pas une solution”. Il avertit, lui aussi, “qu'à moins que le gouvernement ne permette aux islamistes d'œuvrer pour l'établissement de l'État Islamique dont ils rêvent, la violence reprendra”.
Si la Charte pour la Paix et la réconciliation nationale a permis la libération d’Abdelhak Layada et d’autres élargis, ses dispositions sont plus que claires.
Cette loi lui impose également l’interdiction formelle de toute déclaration à caractère politique. Clause qu’il n’a respectée ni à sa libération, ni avec cette nouvelle sortie.
Le président de la République avait rappelé une nouvelle fois à l’ordre les élargis à la faveur de la mise en œuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, lors de la rencontre gouvernement-walis, dimanche dernier. “Nous n’oublions pas qu’un criminel est un criminel. Il faut qu’il se rappelle qu’il est criminel”, avait averti Abdelaziz Bouteflika. Un message que ni Abdelhak Layada, ni Ali Benhadjar n’ont, semble-t-il, pas encore digéré à sa juste valeur.

Samar Smati

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