Salam;
Pour AS monaco, je te prie de jeter un oeil sur ce qu'écrivent ces "chiites" à propos de Fatima, Alayha Assalam et Ali, Alayhi Assalam.
http://www.editionsles12.com/que_doit_on_dire.pdf
http://www.editionsles12.com/clic/telecharge.php?id=QekkijdK7Zr
Mais vois ce qu'écrit le "chiite" BOUKHARI !!!
Une autre nuit, je sortis également avec ‘Omar. Les fidèles priaient sous la direction de leur lecteur. « Quelle excellente innovation, s’écria ‘Omar. Ceux qui dorment sans faire cette prière font mieux que ceux qui se lèvent pour la faire. » Il voulait dire : à la fin de la nuit. Et les fidèles firent cette prière au début de la nuit.
[Extrait de « Les Traditions Islamiques -Tome 1» (El Bokhâri, Editions Librairie d’Amérique et D’orient) ; Titre XXXI : «De
la prière en (commun) pendant les nuits de Ramadân » ; Chapitre I : «Du mérite de celui qui prie (la nuit) en Ramadân»; hadith n° 2; (page 638)]
‘Aïcha rapporte qu’une nuit le Prophète sortit au milieu de la nuit et alla prier dans la mosquée. Des fidèles firent la même prière que lui. Le lendemain matin, la chose fut racontée ; un plus grand nombre de fidèles se réunirent, et, quand le Prophète fit la prière, ils la firent avec lui. Le lendemain matin, on raconta ce qui venait de se passer et, à la troisième nuit, les fidèles se trouvèrent en grand nombre à la mosquée. Le soir, le Prophète se rendit à la mosquée ; il pria et les fidèles prièrent avec lui.
La quatrième nuit, la mosquée fut trop étroite pour contenir les fidèles. Le Prophète vint pour faire la prière du matin et, quand il l’eut achevée, il se tourna vers les fidèles, fit la profession de foi et dit : « Ensuite ; je n’ignorais pas que vous fussiez ici, mais j’ai craint que cette prière en commun devenant obligatoire pour vous, vous ne pussiez pas la faire. » Quand le Prophète mourut les choses étaient dans le même état. »
[Extrait de « Les Traditions Islamiques -Tome 1» (El Bokhâri, Editions Librairie d’Amérique et D’orient) ; Titre XXXI : «De la prière en (commun) pendant les nuits de Ramadân » ; Chapitre I : «Du mérite de celui qui prie (la nuit) en Ramadân»; hadith n° 3; (page 639)]
Zeïd ben Tsabit a dit : « L’Envoyé de Dieu avait installé, pour s’isoler, une sorte de pièce entourée de nattes. Il s’y rendit pour faire la prière ; quelques fidèles l’y suivirent et vinrent prier avec lui. La nuit venue, ces fidèles revinrent à la même place ; mais l’Envoyé de Dieu, après s’être fait attendre, ne venant pas, les fidèles élevèrent la voix et frappèrent à sa porte avec un caillou. L’Envoyé de Dieu sortit aussitôt en colère et leur dit : « Vous ne cesserez donc pas d’agir comme vous l’avez fait en sorte que je crains que votre faute soit inscrite à votre encontre ? Vous devez faire la prière chez vous, car la meilleure prière pour le fidèle est celle qu’il fait chez lui ; il faut en excepter la prière canonique. »
[Extrait de « Les Traditions Islamiques -Tome 4» (El Bokhâri, Editions Librairie d’Amérique et D’orient) ; Titre LXXVIII: «De l’éducation» ; Chapitre LXXV : «De la colère et de la sévérité qui sont permises quand il s’agit des ordres de Dieu »; hadith n°5; (page 178)]