Assalam;
ithviriw écrit:
3 août, 2007 at 12:21
Evidemment les troupes, sont en vacances, mais le Général lui répond toujours présent, dès qu’il s’agit de profiter d’une aubaine médiatique, pour se rappeler à notre bon souvenir.
Hélas, ni Touati, ni Abdeslam, et encore moins, Nezzar, n’inspirent la sympathie de ces Algériens, dignes, qui peuvent témoigner au contraire, que l’Algérie, a bel et bien pâti de leurs effronteries, de leurs impérities, de leur galvaudage des valeurs du Peuple Algérien, et en particulier des ces valeurs universelles, que sont la démocratie, le respect de la Justice, et des droits de l’homme et des Citoyens.
Que l’un ou l’autre de ces personnages se soit comporté au sommet de l’Etat, en néophyte qui a donc participé à la déliquescence de l’Etat, nul besoin de le prouver, sinon à prendre acte des résultats de leur terrifiante expérience de gestion de la sécurité des Algériens, de leur économie et de leurs finances.
Je pensais que lorsqu’une équipe dont le seul résultat a été de soumettre le Pays à la soumission aux “experts du FMI”, donc à l’économie de bazar, la promulgation des ordonnances suspendant la Constitution, et instituant la soumission des institutions de souveraineté à l’arbitraire de quelques “officiers de l’ombre”, et à la terreur des armes achetées pourtant avec les richesses du Peuple Algérien, et retournées ensuite contre lui, il conviendrait au nom de “l’honneur”, dans la mesure où ce mot aurait encore un sens, de donner sa démission, et de se retirer des “affaires publiques”, pour tenter de comprendre ce qui s’est réellement passé, et pourquoi la machination plutôt que la machine s’est emballée.
Que ceux qui un jour de Janvier 1992, prirent le risque de livrer l’Algérie, à l’aventure, ne s’en prennent qu’à eux-mêmes et à leurs “amis”, qui avaient quelques années auparavant livré l’Algérie, au népotisme, à l’impéritie, à l’incompétence, et à la débrouillardise promue au rang de “valeur”.
En effet, n’était-ce pas à ces mêmes équipes pré-Putsh, qu’appartenait Nezar, quand il recevait Benhadj en uniforme ?
N’était-ce pas cette même équipe de “bricoleurs constitutionnels”, qui avait ouvert la voie à ceux que l’on appelle par dérision aujourd’hui, et surtout par amnésie politique, les Afghans, et les “démocrates autocrates” de salon, l’un justifiant la présence de l’autre, pour soi-disant refléter le pluralisme de la Société ?
Non, ni Nezar, ni Abdeslam, ni Touati, n’ont mal agi, ils étaient tout simplement INCOMPETENTS, et pire, ils étaient trop imbus du POUVOIR de disposer de la vie d’autrui à leur guise, et ils ont cru dans leur seul EGO et pire, que l’Algérie, c’était EUX et leurs fratries.
Le Pouvoir actuel a-t-il changé ?
Les maux demeurent les mêmes, mais une seule chose a changé, les mécanismes de la corruption ont été améliorés et ils sont devenus plus sophistiqués.
Le système est toujours le même, celui de la cooptation en cercle restreint et surtout occulte, et il demeure le même que celui qui a permis l’émergence de la classe Oujda, et de l’armée des “frontières”, c’est à dire de l’opportunisme et du patriotisme de la mamelle.
Un seul progrès cependant, nous bénéficions de quelques retombées des revenus des hydrocarbures, avec les projets d’infrastructures lancés depuis 8 ans, malgré l’immobilisme de ceux qui se sont incrustés dans le système au seul effet de le gripper ou de vivre sur son gras, en claironnant de pseudos réussites industrielles ou commerciales, favorisées par un scandaleux accès illimité aux crédits de l’Etat, pour les seuls « happy few well acquainted », quand l’écrasante majorité, est livrée à la chiourme et aux « règles et procédures » les plus tatillonnes et surtout à la bureaucratie la plus rétrograde, dont le principe demeure « la contrôlite », et surtout que le citoyen est à priori « tricheur » et que les lois ne sont pas faites pour faciliter la vie de l’investisseur ou du citoyen, mais au contraire pour débusquer d’éventuels « profiteurs des miettes » favorisées par les éventuelles failles du système fait et pensé à l’origine au seul profit des « élus » qui sont sensés le pérenniser à leur seul profit.
Le reste ne vaut pas le détour, puisqu’il n’est que le chiendent qui pousse dans un champ livré à l’abandon.
Les mémoires des uns et des autres, n’auront pour mérite que d’enseigner à nos enfants, dans le futur, ce qu’il ne faut pas faire, et surtout qui ont été les prédateurs de l’Algérie, et comment a-t-on fait pour dresser les Algériens entre eux, et rater des occasions.
Mourad écrit:
4 août, 2007 at 13:12
M.Benchicou, vous avez amputé mon commentaire,
veuillez s.v.p le publier intégralement.
Dans quel pays au monde un militaire a-t-il le droit de s’ingérer dans les affaires et les choix économiques?
Seul le nôtre bien sûr.
Je défie Nezzar, cet analphabète notoire, de nous dire à quoi obéit la loi de l’offre et de la demande en économie sans demander conseil à un économiste et d’écrire ne serait-ce qu’une petite phrase en français sans faute de grammaire et d’orthographe.
L’économie de ce pays est l’un de tes derniers soucis.
Ce qui te préoccupe, c’est ta propre économie et celle de ta petite famille.
Sans être trop impoli avec toi Nezzar, dégage, dégagez tous et disparaissez de la circulation car vous avez coulé le bateau Algérie et n’osez plus parler de l’image de notre pays car c’est vous même qui l’avez sali.
les gens qui nuisent à notre pays, c’est bien vous en servant et en se servant.
Les mots sont trop faibles.