SALAM AUX CROYANTS
Le soi-disant penseur qui n'a pas hésité à poster plusieurs fois sa vidéo, a résumé certaines de ses idées en (je cite :
Les conflits du Moyen Orient, qui sont artificiels et la pomme de discorde, de soi-disants conflits de rites religieux, INEXISTANTS avant la révolution islamique, et PROMUS au rang de CAPITAUX depuis le retour de la république islamique d'Iran, dans le cercle des pays qui s'opposent à Israël, pour les pays "sous domination USrael".
Les vrais défis du développement qui devraient constituer le seul OBJECTIF des pays musulman, avec pour corrolaire, l'UNION, l'abolition des VISAS, et les regroupements régionaux, comme l'UNION MAGHREBINE.
L'appel lancé aux peuples et souverains et dirigeants des pays musulmans pour être à l'écoute de leurs peuples, et pour se conformer à l'éthique islamique, y compris dans la révolution contre des dirigeants illégitimes ou contestés, qu'il ne faudrait pas confondre avec le peuple la plus part du temps, objet d'attentats aveugles au nom d'un soi-disant Islam.
Dans un commentaire, suite au match de foot Algérie-Egypte, il n'hésite pas à dire, je cite :
Gageons, que Bouteflika saura réagir en temps et en heure pour faire goûter aux égyptiens, l'amertume de déclarations STUPIDES.
Il en a les moyens, et les compétences, et pour une fois son peuple est avec lui.
Ne reste plus à attendre que l'Algérie bombarde l'Egypte, puisque le problème de la oumma et qui n'est pas artificiel, c'est le foot !!
Ce penseur doit être de la même trempe que ceux qui suivent ci-dessous :
https://www.youtube.com/watch?v=fU-ksT4_qkk&feature=player_embedded
https://www.youtube.com/watch?v=bXVllzNyF2M&feature=player_embedded
17.11.2009 | Mounir Boudjema | Liberté
Soudan : on arrive ! Les supporters de l'équipe d'Algérie vont déferler sur Khartoum comme des criquets avec un esprit de revanche non dissimulé. La faute à la haine égyptienne, qui a provoqué des morts. Inadmissible. L'affaire tourne au vinaigre. Non contents d'avoir gagné un match, les Egyptiens ont lynché les supporters algériens présents dans le stade. On dénombre des morts et des blessés. Pour ceux qui en doutaient, ils ont eu un aperçu de la signification de "l'amitié arabe". Elle est faite d'assassinats, de trahisons, de bastonnades et de cruauté sans égale. Les Algériens ont eu droit à un traitement inqualifiable de la part d'Egyptiens qui, d'habitude, servent le thé aux touristes israéliens sur les plages de Charm El-Cheikh. Il y a eu mort d'homme. C'est devenu une affaire d'Etat.
Cet "accueil" était pourtant prévisible. Combien fallait-il de morts pour que le gouvernement algérien se réveille ? On a caillassé nos joueurs, tabassé nos supporters et sifflé notre hymne national devant des ministres de la République algérienne impassibles. On ne pouvait rester les bras croisés devant tant d'humiliations. Depuis le 15 novembre, l'Etat semble, heureusement, sortir de sa torpeur pour se mettre au diapason de l'indignation nationale. Billets d'avion à prix cassés, accord avec le Soudan pour supprimer le visa et billets de stade gratuits sont parmi les mesures déployées afin de répondre aux attentes citoyennes. Car les Algériens viennent, une fois encore, de faire la magistrale démonstration de leur amour du drapeau. De leur pays aussi. Certains vont dire qu'on s'emballe trop pour un match de football. Mais rien, absolument rien, ne commande ce sentiment national d'appartenance à une Algérie qui veut exister.
C'est un devoir de solidarité que de soutenir l'équipe nationale, qu'on gagne ou pas, car cela paraît maintenant bien dérisoire face au nombre de morts. Face à ceux qui ont perdu la vie au Caire ou ceux dont le cœur a cessé de battre devant leur écran. Pour l'équipe, pour l'emblème national. En attendant, cette colère légitime est également alimentée par l'indolence de la Fédération internationale. Où sont passés les engagements écrits demandés aux Egyptiens ? Ils ont été allègrement violés. Va-t-on encore parler football alors que certains de nos supporters sont morts ? Tout cela en espérant que nos joueurs sentiront, depuis Khartoum, ce vent de folie souffler sur leur visage. Cette ferveur populaire devrait leur être salutaire.