- Noureddine Zenki a écrit:
- Ouaga a écrit:
Wallah tu ne connais rien au WAHABISME ou bien tu es de mauvaise foi, alors je vais lancer un débat avec toi.
1-Quelle est cette croyance qui a faussé les attributs d'Allah..?
2-Ou le wahabisme a combattu l'Islam authentique..??
3-C'est quoi l'islam authenrtique..?
4-Ou ont-ils massacré les musulmans./.?
5-Comment ont-ils aidé les ennemis d'Allah..??
Haya bismillah..
Je ne veux pas débattre avec un falsifacateur comme toi, mais je suis assez instruit pour bien vous connaûtre.
La croyance wahabi concernant les attributs d'Allah ne sont pas islamique, nottament concernant le mot 3rche ou certains autres versets.
La wahabisme a commbattu l'islam dès son apparition nottament en massacrant les musulmans, détruisants les mosquée et les cimtière, la cimtière Al baqi est la preuve vivante.
Les wahabis se sont toujours alliés avec les ennemis de l'islam, hier les anglais et les français et aujourd'hui les américano-sionsite, les accords de sykes-picot sont les fruits de leur trahaisons.
L'islam authentique est l'islam appaorté par Mohamad saw, pratiqué par ces 4 khalifs bien guidés et représentés par les 4 grands écoles connu et reconnu.
ps/ je parle d'une manière générale sans tenir compte des autres petit écoles comme celui de sofiane thawri par exemple.
Sunnites ou chiites, nous sommes tous musulmans.
Salamoun'alaykom
Pendant que certains individus campent encore derrière leur idées haineuses, arriérés et destructrices, le monde des sages oeuvre toujours pour une union concrétisée par une préparation qui met fin à cette division sunnite/chiite qui rend un énorme service aux ennemis de l'Islam et de sa communauté.
Dans ce cadre bien précis, je souhaite partager avec vous cet article écrit par Dr. Hisham Hellyer pour le CGNews le 23 Mai 2008. C'est un professeur à l'Université de Warwick et membre du Oxford Centre for Islamic Studies. Il est également le fondateur et le directeur de Visionary Consultants Group, ( www.visionaryconsultantsgroup.com/ ), bureau de conseil pour les relations monde musulman-Occident.
J'espère que cet article suscitera beaucoup de réflexions, et surtout que la bande des quatre navets cesseront d'aboyer, sous réserve qu'ils aient la sagesse de lire, sachant que lorsqu'un démon ne peut même pas tirer de bénéfices de la lecture du Coran, il ne faut rien espérer ni attendre de lui, qu'il s'assagisse à la lecture d'un simple texte, non écrit par les démons wahabis qui ont lobotomisé ce qui lui servait de cerveau.
Hisham Hellyer : La chaîne BBC World a récemment diffusé le dernier débat en cours à Doha sur le thème: « le conflit entre sunnites et chiites nuit à la réputation de l’islam, religion de paix. ». C’est un sujet qui est dans l’air du temps et qui est pose un problème urgent car c’est une question que l’on ne peut poser que maintenant. Non que la discorde sunnite-chiite soit un phénomène nouveau : c’est un vieux schisme historique, une division politique, devenue par la suite religieuse. Mais aujourd’hui c’est bien le monde politique qui a fait de cette division un problème si monumental.
Je suis bien d'accord – mais je me suis exprimé contre à Doha car le dommage porté à la réputation de l'islam relèvent davantage du sensationnalisme des médias, et du fait qu'on fait mette en évidence la violence musulmane en général, plutôt que la violence entre sunnites et chiites.
En fait, dans mon esprit, la motion a débouché sur une autre question: au milieu de ce conflit entre sunnites et chiites qui fait rage dans certaines poches du monde musulman, qu'allons nous faire de ce qu'est ou de ce que n'est pas l'islam?
Soyons clairs : les musulmans ne sont pas d'accord sur tout. Les sunnites ont leurs quatre écoles juridiques et les chiites ont leur propre façon d'établir l'orthodoxie. La notion du respect des différences d'opinion existe au sein des deux branches que chacune célèbre et met en valeur.
Dans les débats organisés entre sunnites et chiites, cette notion prend un ton différent. Les différences sont tolérées à contrecoeur, mais on accepte le concept essentiel que les deux branches sont issus de l'islam.
Les théologiens de l'islam sunnite ont établi, il y a déjà longtemps, le postulat selon lequel pour les sunnites les chiites sont effectivement une communauté musulmane. Ce statut de « postulat» est un type particulier de prise de position orthodoxe, un genre difficile à déterminer, étant donnée la diversité au sein de la branche sunnite.
Mais pour cette question précise, la règle a été établie, et cela a fait partie de l'orthodoxie historique si propre à l'islam sunnite. Du côté chiite, même chose en général : les sunnites ont peut-être tort, disent les théologiens, et leurs opinions sur l'islam sont peut-être erronées, mais ils sont néanmoins musulmans.
Avec l'expansion du mouvement wahhabite dans la région du Najd en Arabie saoudite, les tensions devirent plus prononcées (pas seulement pour les chiites mais aussi pour les autres musulmans non-wahhabites) mais jamais au point d'extrême violence que nous voyons actuellement. Même le plus puritain des dirigeants wahhabites n'a jamais empêché les chiites de se rendre en pèlerinage à La Mecque ou à Médine.
Il y a quelques années, il a semblé évident aux dirigeants du Royaume Hachémite de Jordanie que la distance que sunnites et chiites ont mutuellement mis entre eux risquait d'être détournée par une tierce partie pour justifier la violence -comme ce fut le cas pour les chrétiens.
Cependant, contrairement aux chrétiens qui menèrent de véritables guerres de religion– comme celles entre catholiques et protestants – le monde musulman a adopté une démarche sans précédent. Voyant l'idéologie d'al Qaeda comme une menace pour la co-existence des sunnites et des chiites en Irak et ailleurs, des érudits musulmans, des deux branches, se sont mobilisés ensemble pour contrecarrer cette idéologie.
Ils ont pris l'initiative de créer une tribune où des centaines d'érudits, des plus renommés du monde musulman, sunnites comme chiites, y compris al-Habib Ali al-Jifri de la Tabah Foundation d'Abou Dhabi, se sont exprimés pour dire : « trop c'est trop ».
Ils ont déclaré que sunnites et chiites étaient tous musulmans, et qu'il ne devrait jamais y avoir de violence entre eux. C'était une initiative d'union visant à faire échouer le nihilisme meurtrier qu'a répandu al Qaeda. Cette initiative s'est appelée le Message d'Amman (www.ammanmessage.com) et a été signée en juillet 2005. Depuis lors, des centaines de personnes en plus l'ont signé en ligne.
Deux mois plus tard, al Qaeda a déclaré une guerre ouverte aux chiites d'Irak, guerre sans précédent dans l'histoire de l'islam. Et encore quelques mois plus tard, al Qaeda a visé Amman à travers un massacre d'innocents abominable. Mais cela n'a pas arrêté l'élan du Message d'Amman.
Beaucoup de personnes à travers le monde l'ont signé et en ont développé une version locale. Des dirigeants politiques du côté sunnite comme du côté chiite se sont prononcés clairement, qu'il s'agisse de l'Arabie saoudite nominalement wahhabite ou de l'Iran assidûment chiite : les deux sont peut-être différents l'un de l'autre, mais ils ne laisseront personne, que cela soit al Qaeda ou autre, musulman ou non musulman, remonter les sunnites contre les chiites, ou vice-versa.
Personnellement, je ne suis pas particulièrement intéressé de savoir si l'islam est défini en tant que religion de paix ou religion de guerre, ou quoi que ce soit d'autre.
Ce qui m'importe c'est que les définitions soient faites par des personnes qualifiées et autorisées. Beaucoup sont en train d'essayer de s'arroger ce droit : grands pontes américains, extrémistes etc, on a l'embarras du choix. Mais ce qu'il nous faut c'est de savoir qui, en la matière, a déjà cette autorité.
Les définitions sont élaborées par les spécialistes mêmes de l'islam : ses érudits, ses théologiens, ses juristes et spiritualistes, qui ont renouvelé leur attitude par le biais du Message d'Amman en disant les uns aux autres : « Nous sommes peut-être différents, mais ces différences ne doivent jamais devenir une cause de violence. » Al Qaeda a répliqué en Irak en essayant d'imposer sa propre autorité religieuse.
Pour nous tous, le choix est simple. Soit nous acceptons que les extrémistes violents puissent définir l'islam avec leurs saccages meurtriers. Soit nous leur ferons comprendre que, peu importe à quel point ils essayent – à Amman, dans le monde musulman, à New York, à Londres, à Madrid et ailleurs – de nous terroriser, les extrémistes criminels n'auront jamais l'autorité de définir quoi que ce soit.
Je sais ce que je leur dirai ainsi qu'à la bande des quatre pieds nickelés présents parmi nous, comme représentants de L'HERESIE wahabie: «vous perdrez. La civilisation gagnera. »
Les débats de Doha sont archivés à : http://clients.mediaondemand.net/thedohadebates.