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 LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète

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Timour Le Boiteux
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MessageSujet: LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète   LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 9:54

As-Salamou 'Alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouhou
Que la paix d'Allah soit sur vous ainsi que sa Miséricorde et sa bénédiction


LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète
(Le Quotidien d'Oran 02/08/2005)

Le Roi Fahd Ibn Abdelaziz Al Saoud a toujours eu des relations ambiguës avec l’Algérie. Méfiant à l’égard d’un pays qui avait versé dans le socialisme, il avait tenté de le récupérer dans le giron du wahhabisme par l’entremise du FIS-dissous. L’histoire qu’il a eue avec l’Algérie est demeuré secrète.

Le 2 février 2004, c’est l’ambiance des grandes réceptions au palais royal de Riad. Le Roi Fahd est là, vissé à son fauteuil et ravagé par la maladie. Il peut à peine serrer les mains des convives. Une main se tend, celle de Abassi Madani. «Déguisé» en simple pèlerin venu de Dubaï où il était en soins après son départ d’Algérie pour effectuer le pèlerinage à la Mecque, l’ancien dirigeant du FIS-dissous revoit le Roi Fahd, l’espace de quelques secondes, depuis leur première rencontre en 1990. Comme dans un dernier geste de conciliation qu’il multipliait, le Roi Fahd a finalement reçu Abassi Madani qu’il ne voulait plus revoir depuis «l’affaire Belhadj». Cet acte testamentaire à l’égard des islamistes algériens n’avait pas manqué d’irriter Alger, qui s’est toujours gardée des largesses empoisonnées du roi saoudien qu’elle connaît si bien.

Un prince chez Boumediène

Pour comprendre cette méfiance réciproque, il faut revenir à... 1975. A la tête d’une délégation saoudienne, le jeune prince, Fahd, représentant d’un père en déclin qu’il était appelé à remplacer, le Roi Fayçal Ibn Abdelaziz, débarque à Alger. Malgré l’animosité que portent les Saoudiens aux dirigeants algériens considérés comme des «révolutionnaires» et des «gauchistes», le temps est au beau fixe. L’Algérie accueille en maître de cérémonie une réunion de l’OPEP dont les Saoudiens sont les véritables patrons. Mais Riad doit composer avec un Houari Boumediène au summum de son influence dans le monde arabe avec l’accord de paix entre l’Irak et l’Iran, la protection qu’il accorde aux mouvements palestiniens, dont celui de Yasser Arafat, ou le rôle joué par l’Algérie dans la gestion de l’après-krach pétrolier de 1973 qui a failli isoler les Saoudiens sur la scène internationale.

Le prince Fahd reviendra plus tard en 1977, pratiquement en vice-roi, lors d’une tournée maghrébine. Cette fois-ci, après un passage par le Maroc, il tente la première tentative de conciliation sur la question du Sahara Occidental, dont le conflit a éclaté deux années auparavant et risquait de mener à une guerre entre les deux voisins. Le poids financier et religieux des Saoudiens ne peut rien face à l’intransigeance algérienne, qui voit dans le soutien du Polisario une question de principe. Boumediène n’aime pas Fahd et le lui fait sentir. Il lui fait également percevoir qu’Alger n’est pas dupe du jeu qu’il mène avec le Roi Hassan II, dont Fahd est un ami au point d’être resté une semaine au Maroc à chasser l’outarde, avant de débarquer chez nous. Alger et Riad composent sur la «fraternité arabe» mais le coeur n’y est pas. Pour ne pas rabrouer définitivement le Roi Fahd, alors que l’Algérie dépend toujours des prix de l’OPEP et avait une économie pétrolière fragile, le MAE de l’époque, Abdelaziz Bouteflika, s’est chargé, avec finesse, de ne pas «perdre» totalement le Saoudien. Le Roi Fahd appréciera ce tact et gardera, depuis, une relation privilégiée avec Bouteflika.

Le roi saoudien joue Hassan II contre Chadli

L’arrivée de Chadli Bendjedid et l’intronisation du prince Fahd en 1982 allaient donner une autre tournure aux relations algéro-saoudiennes. Riad avait changé son fusil d’épaule et avait misé sur l’aide financière aux organisations islamistes, souvent caritatives, depuis 1978. Un apport s’est accéléré pour contrebalancer l’expansion du chiisme khomeyniste dans le Maghreb. Profitant de l’émergence du mouvement de la Sahwa Islamya en Algérie, avec les leaders comme Sahnoun, Soltani, Nahnah ou Abassi Madani, les Saoudiens établissent des passerelles avec tout ce qui compte comme personnel «religieux» algérien. Pèlerinages aux frais de la princesse, noyautage du ministère des Affaires religieuses, bourses d’études dans les universités de Riad et de Djeddah, formation des imams, financements d’une partie des travaux de construction de l’Université des études islamiques de Constantine, envoi de oulémas en Algérie, dont Cheikh Al Ghazali qui a initié nombre de téléspectateurs algériens au wahhabisme, l’influence saoudienne en Algérie gagnait du terrain.

L’ouverture libérale algérienne trouvait une assistance dans les dollars saoudiens et Riad n’était pas mécontente lorsque Chadli Bendjedid nomma Brahim Brahimi comme Premier ministre. Ce dernier allait s’avérer être très proche de la monarchie des Al Saoud.

Mais c’est sur le dossier du Sahara Occidental que le Roi Fahd a réussi à reprendre la main. Imposant une médiation, le souverain saoudien revient en Algérie deux fois dans l’année 1983. Une première fois pour se faire décorer par Chadli Bendjedid du Wissam Al Achir, la plus grande distinction honorifique algérienne, et peaufiner l’idée d’un sommet tripartite avec Bendjedid et Hassan II qui allait se tenir au courant du Ramadhan de la même année.

C’est au poste frontière Akid Lotfi que les trois protagonistes se rencontrent. Le Roi Fahd, qui avait promis à Hassan II de faire venir les Algériens, ne cache pas sa satisfaction. Il se dissimule derrière la nécessité de «rassembler les frères maghrébins» et demande que la hache de guerre soit enterrée. Le sommet ne donne pas de résultats immédiats puisque Algériens et Marocains demeurent sur leurs positions initiales. A Alger, l’armée surveille ce processus et craint que Chadli Bendjedid ne concède plus qu’il n’en faut. Mais ce sommet d’apparat a servi les Saoudiens.

Le KGB prévient Alger sur Fahd

Le président Chadli Bendjedid devait également aborder avec le Roi Fahd le nouveau problème des islamistes algériens qui se rendent en Afghanistan. Les services du KGB russe alertent leurs homologues algériens sur le fait que Riad organise, depuis El-Oued, le départ des «volontaires» algériens pour l’Afghanistan et que le Roi Fahd en est le grand ordonnateur. Le KGB transmet une liste de près de 200 Algériens arrêtés ou tués en Afghanistan. A Djeddah, plaque tournante de ces voyages, les islamistes algériens partent en charters à Islamabad, puis sont pris en charge à Peshawar par l’organisation caritative d’un certain Oussama Ben Laden, proche de la famille royale. «Les Algériens, sous prétexte de faire des études dans des centres islamiques en Arabie Saoudite, partaient en nombre. Les charters vers le Pakistan étaient organisés le week-end. Ils partaient le mercredi et revenaient le samedi après avoir participé à des opérations contre l’armée russe en Afghanistan. C’était l’excursion du djihad. On a fini par les appeler les combattants du week-end», explique un spécialiste des mouvements islamistes.

Le Roi Fahd, lui, reviendra en Algérie en 1984 pour le sommet de la Ligue arabe. Il se positionne comme l’intermédiaire entre Américains et Algériens pour conclure la visite d’Etat de Chadli Bendjedid à la Maison-Blanche. Les relations sont normalisées mais en défaveur des Algériens. Les Saoudiens ont besoin du dynamisme de la diplomatie algérienne, notamment à l’égard des contacts que possède Alger avec la Syrie de Hafedh Al-Assad, qui ne supporte pas l’interventionnisme saoudien au Liban. L’Algérie est associée au comité tripartite sur la question libanaise. Le Roi Fahd viendra à Oran en 1987 pour rencontrer les dirigeants algériens qui ont contribué, notamment Lakhdar Ibrahimi, a donné corps aux accords de Taêf. Le succès est total. Le Roi Fahd reviendra deux fois par la suite en Algérie. Une visite de quelques heures en 1987 pour la question libanaise, et une dernière visite d’Etat en 1988 avant la détérioration des relations algéro-saoudiennes. Soit 8 visites en moins de sept ans.

L’ambassade saoudienne reçoit le FIS

A l’ambassade d’Arabie Saoudite à Alger, Abassi Madani, professeur à l’université de Bouzaréah, ne se cachait plus pour aller rendre compte à l’ambassadeur des Wahhabites. Entre 1989 et 1991, l’aide financière, idéologique, morale, politique et logistique de l’Arabie Saoudite pour le FIS dissous était ostentatoire. Face à un Etat algérien affaibli, les diplomates saoudiens en poste en Algérie multiplient les réunions avec les islamistes. La chaîne saoudienne MBC, qui émet à partir de Londres, est devenue la «chaîne du FIS». Elle encense les islamistes qui raflent les municipales de juin 1990. L’argent saoudien coule à flots. La Présidence est alertée par les services secrets qui montent un dossier en béton sur les contacts FIS-Saoudiens.

En septembre 1990, le Président Chadli Bendjedid est chargé par les militaires algériens, lors de sa visite d’Etat à Riad, de le faire savoir au Roi Fahd. Il lui donne des indications sur les pistes algériennes. Les Saoudiens se rendent compte que leur ambassade et l’activité de ses diplomates sont méticuleusement surveillées. Riad n’interrompt pas pour autant le flux de la deuxième génération des «Afghans algériens» qui transitent par son territoire pour aller en Afghanistan.

En guise d’assurance, le Roi Fahd dépêche à Alger son neveu, le puissant prince Turki, chef des services de renseignements saoudiens, à qui on doit la création de Ben Laden, qui fut un de ses agents. Les Saoudiens demandent des preuves sur le financement du FIS-dissous mais les Algériens décident de ne rien transmettre. La crainte que les islamistes, qui étaient à leur apogée à l’approche des élections législatives de 1991, profitent de ces fuites. Au MDN, on calme le jeu car on sait que la fin du FIS est proche et que les Saoudiens finiront par comprendre que leur assistance à Abassi Madani, dépassé par son aile salafiste, sera sans lendemain.

Fahd découvre la trahison de Abassi

Finalement, c’est la guerre du Golfe qui allait sceller l’entente FIS-Fahd. L’invasion du Koweït, monarchie jumelle des Saoudiens, allait marquer le coup d’arrêt de l’aide saoudienne aux islamistes algériens. En janvier 1991, Abassi Madani monte sur une estrade lors d’un meeting à Kouba pour haranguer la foule et... condamner l’invasion irakienne. Des sifflets montent des tribunes. La direction du FIS se rend compte qu’elle est en complète contradiction avec la sensibilité pro-irakienne de l’opinion publique algérienne et de leur électorat. Ali Belhadj fait la même expérience lors d’un meeting à la place des Martyrs. Il se veut plus nuancé. Mais dès qu’il prononce le nom de Saddam Hussein, la foule s’emballe. Il défendra la monarchie wahhabite mais se garde de condamner l’invasion irakienne du Koweït.

Pour le FIS, l’équation est kafkaïenne. Comment faire pour ne pas tirer sur le banquier saoudien tout en gardant intact sa base politique et électorale ? Le FIS choisit le populisme et se jette dans la rue avec, en tête, Ali Belhadj en treillis militaire, qui appelle à l’envoi de volontaires algériens en Irak. Au même moment, Abassi Madani s’envole pour l’Arabie Saoudite afin d’expliquer au Roi Fahd ce revirement. Il est reçu sèchement mais il demeure l’invité du Roi. Mais le Roi Fahd est hors de lui lorsque MBC montre des images de Abassi Madani serrant la main de Saddam Hussein. Il demande de couper les vivres au FIS. Du moins officiellement.

Riad opte pour Nahnah et San’t Egidio

Cet épisode ne va pas diminuer de la volonté du Roi Fahd de propager le wahhabisme en Algérie. Les Saoudiens optent pour Mahfoud Nahnah qui, par l’entremise des Frères musulmans koweitiens et égyptiens, est admis dans le giron royal. Nahnah se rendra en Arabie Saoudite. De même que Abdellah Djaballah de l’ancienne Ennahda. Plusieurs fois, ces deux leaders islamistes seront considérés comme des « alternatives » au FIS, mais le Roi Fahd demande à ses émissaires d’être prudents sur la question du financement.

Paradoxalement, cette question n’est pas évoquée lors du passage de Liamine Zeroual en Arabie Saoudite à l’occasion de sa tournée au Moyen-Orient. Sa rencontre avec les Saoudiens allait se solder par une sorte de modus vivendi. Le palais royal explique que les aides financières sont des dons ou des cadeaux de nombre de princes saoudiens que Riad ne peut pas forcément contrôler. Avec leur réseau de financement des ONG islamistes, dont l’IRO (Islamic Relief Organisation) qui soutient les islamistes algériens à Peshawar, l’argument ne convainc pas l’ancien général Zeroual, qui ne critique pas pour autant la famille royale.

Mais Riad n’avait pas coupé avec le FIS. En 1995, à Alger, deux dirigeants confréristes saoudiens, Zoubeir Mohamed Omar et Tewfik Al Chawi, prennent des contacts avec des leaders islamistes pour encourager les deux parties à signer les accords de San’t Egidio. Ils verront nombre de figures islamistes comme Heddam, Kébir et Ould Adda mais n’arriveront pas à convaincre les responsables algériens de les rencontrer.

Bouteflika à Genève pour saluer Fahd

Ces tentatives de médiations ne vont pas se poursuivre au-delà du cas de l’AIS avec des contacts établis par les Saoudiens avec Madani Mezrag. Mais après les attentats de Khobar, les Saoudiens lâchent prise sur le dossier algérien. Le Roi Fahd, fatigué et gravement malade, est supplanté par le prince Abdallah qui se montre plus pragmatique dans ses relations avec l’Algérie. L’arrivée du Président Bouteflika au pouvoir va atténuer de la tension existant entre les deux pays. Ayant tissé des liens solides avec les monarchies du Golfe Persique, Bouteflika en appellera aux Saoudiens pour investir en Algérie dès sa prise de pouvoir. Les premiers à le féliciter avec une délégation de 50 personnes sont des émissaires de Fahd, traduction physique des remerciements du roi saoudien au président algérien de tous les conseils promulgués lorsqu’il était installé aux Emirats Arabes. Il fera également appel aux Saoudiens pour qu’ils cessent de cautionner à travers des fatwas le massacre des innocents. Le président algérien veut enlever la couverture religieuse au GIA et au GSPC.

Il convaincra Fahd de forcer le Comité des grands oulémas d’Arabie Saoudite à ne plus favoriser le discours du djihad en Algérie. Riad mettra alors à contribution Abdelaziz Ibn Al Baz, cheikh El Otheimine, Al Aïssani, Al Karadaoui et bien d’autres qu’elle paie grassement pour édicter des fatwas condamnant, ou du moins critiquant l’action des groupes terroristes en Algérie. Une manière d’apaiser des relations contre nature entre deux pays que rien ne rapproche.

Riad a compris que ses intérêts ne sont plus de nourrir l’islamisme wahhabite puisque, à l’inverse de ses investissements religieux au Maroc, l’Algérie demeure réfractaire à la doctrine. Et c’est dans un avion du Glam présidentiel que Bouteflika ira voir, une dernière fois, le Roi Fahd à Genève, en 2003, où il était hospitalisé. On a également évoqué une autre rencontre en Espagne.

Il lui donnera l’accolade. Le temps des conflits entre une Algérie qui a vaincu le terrorisme islamiste et une Arabie Saoudite qui le découvre semble révolu.

Mounir B.


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MessageSujet: Re: LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète   LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 17:02

Salam;

Grelou Mounir B., un chantre PUA, du DRS affecté au Quotidien d'Oran, racheté par le général DRS Kamel Abderahmane, ose écrire a écrit:
Un apport s’est accéléré pour contrebalancer l’expansion du chiisme khomeyniste dans le Maghreb. Profitant de l’émergence du mouvement de la Sahwa Islamya en Algérie, avec les leaders comme Sahnoun, Soltani, Nahnah ou Abassi Madani, les Saoudiens établissent des passerelles avec tout ce qui compte comme personnel «religieux» algérien. Pèlerinages aux frais de la princesse, noyautage du ministère des Affaires religieuses, bourses d’études dans les universités de Riad et de Djeddah, formation des imams, financements d’une partie des travaux de construction de l’Université des études islamiques de Constantine, envoi de oulémas en Algérie, dont Cheikh Al Ghazali qui a initié nombre de téléspectateurs algériens au wahhabisme, l’influence saoudienne en Algérie gagnait du terrain.
L’ouverture libérale algérienne trouvait une assistance dans les dollars saoudiens et Riad n’était pas mécontente lorsque Chadli Bendjedid nomma Brahim Brahimi comme Premier ministre. Ce dernier allait s’avérer être très proche de la monarchie des Al Saoud.
N'importe quoi, l'imam Ghazali, Rahimahou Allah, était de son vivant, la bête noir des Wahabys, et évidemment de son pays soumis au Pharaon Sadate.
Ce sont bien les Talafo-Wahabys, au contraire, qui ont AGRESSE à l'Université Emir Abdel Kader, l'imam Ghazali, qui condamnait le WAHABISME et le qualifait de FI'A DHALLA.
Les enseignements de l'imam Ghazali, sont aux antipôdes des enseignements de la SECTE Wahaby, évidemment, et c'est bien pour cela qu'il a REUSSI ses enseignements en Algérie, attachée au sounisme Malékite, donc un RITE COMBATTU par les TALAFIS et les WAHABIS, qui avaient "EXCOMMUNIE", les 04 Ecoles relgieuses, sounies : Hanéfisme, Malékisme, Shafeisme, Hanbalisme, mais en "tolérant le Hanbalisme" dont ils se réclament après "modifications par BIDA', et pire ils excommuniaient les chiites, remantant jusqu'à l'EXCOMMUNICATION des Ahl El Beyt, as, pour ne se reconnaître que dans les Salafs et autres Compagnons qui ONT PORTE préjudice à Rassoulou Allah, aswaws, ou à sa descendance et ses "Ahlou Beytihi", as, ou ses épouses qui ont SUIVI scrupuleusement le CORAN, et restées VERTUEUSES et fidèles à Rassoulou Allah, aswaws, malgré les vicissitudes de l'Histoire, comme Oum Salama, par exemple...

2.- Ce toccard d'officier SM, Mounir B. , "journaliste" d'affectation, a une HAINE telle du Professeur Abdel Hamid Brahimi, ex Premier Minsitre, sous Chadli, qu'il a "oublié son nom", et le confond à un "brahim brahimi", qui doit sûrement être un de ses POTES de beuveries, ou de queue de cheval.... à Oran.
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Soustara
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MessageSujet: Re: LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète   LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 17:33

Cet article est du N'IMPORTE QUOI...Le FIS n'a jamais touché d'aide financière du Hijaz. Je ne parle pas des particuliers Hijazis, mais du royaume comme semble le dire ce Khabith de journaliste.
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MessageSujet: Re: LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète   LE ROI FAHD ET L’ALGERIE : Histoire secrète Icon_minitime

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