- Abou Ouweis a écrit:
- Ouaga a écrit:
Je ne me cache pas derrière la religion, car ce n'est pas un jeu, mais une "république islamique" qui libère des espions condamnés alors qu'ils doivent être exécutés, personne ne peut accepter ça, sauf un laïc.
J'ai une question à poser à toi et à notre ignorant.
QUI VOUS A DIT QUE CES JUIFS ETAIENT DES ESPIONS?????
EU QUEL ETAIT L ARGUMENT DES IRANIENS POUR LES LIBERER, pour quel raison l iran les a liberer officiellement.
SALAM AUX CROYANTS
Procès des 13 Juifs d'Iran: Henri Hajdenberg (Président du CRIF) fait part de la ''préoccupation'' de Jacques Chirac (Associated Press)PARIS 12 avril 2000 - Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) Henri Hajdenberg a fait part mercredi de la ''préoccupation'' de Jacques Chirac à la veille de l'ouverture, à Shiraz, du procès des 13 Juifs iraniens accusés d'espionnage.
Selon le président du CRIF, qui a été reçu par le chef de l'Etat avec des membres du Congrès juif européen, M. Chirac ''ne comprendrait pas que l'Iran d'aujourd'hui prenne des risques en condamnant à mort'' ces hommes accusés d'espionnage au profit d'Israël et des Etats-Unis. Le président, a-t-il dit, estime qu'une telle condamnation ''risquerait d'entraîner des relations très difficiles de l'Iran non seulement avec la France mais avec l'Europe''.
Rappelant que le chef de l'Etat avait reçu à l'automne Mohammad Khatami, le président du CRIF a rapporté que Jacques Chirac ''croyait'' que son homologue iranien aurait ''une attitude différente'' par rapport à ce procès et que les poursuites seraient abandonnées. M. Chirac ''constate qu'il doit y avoir procès. Il souhaite qu'il n'ait pas lieu et, s'il a lieu, qu'il ait lieu dans les meilleures conditions et que les droits de l'Homme et de la défense soient respectés'', a ajouté M. Hajdenberg. Ouverture jeudi du procès des 13 juifs iranien par Afshin Valinejad
(Associated Press)
SHIRAZ, Iran 12 avril 2000 - Les pressions de la communauté internationale et les protestations des associations des droits de l'homme n'y ont rien changé. Le procès des 13 juifs iraniens accusés d'espionnage pour les Etats-Unis et Israël s'ouvrira bien jeudi à Shiraz, à 880km au sud de Téhéran.
Des débats qui se dérouleront à huis clos, pour des raisons de ''sécurité nationale'', a annoncé mercredi le département de la justice de la province de Fars, dont Shiraz est la capitale. ''Etant donné les circonstances spéciales de ce cas, les possibilités d'interférence dans la sécurité nationale et les répercussions que cela pourrait avoir (...), la Cour révolutionnaire islamique a ordonné que la procédure ait lieu à huis clos'', explique le communiqué, cité par Radio Téhéran.
Seuls seront autorisés à assister au procès, outre les 13 prévenus, leurs avocats et ceux qui sont ''légalement impliqués'' dans ce dossier. Une décision qui achève d'inquiéter ceux qui craignent un procès peu équitable, sachant que la Cour révolutionnaire qui jugera les 13 juifs ne comporte pas de jurés et que c'est un juge unique qui mène l'enquête, inculpe et prononce la sentence.
Procès des 13 juifs iraniens : un sixième accusé plaide coupable (Associated Press)SHIRAZ, Iran 10 mai 2000 - Un professeur de théologie a été mercredi le premier des 13 juifs iraniens jugés devant un tribunal de Shiraz pour intelligence avec Israël à rejeter les accusations portées contre lui, tandis que son frère aîné a reconnu avoir espionné au profit de l'Etat hébreu, selon un avocat de la défense. C'est le sixième accusé qui plaide coupable dans ce procès dont l'équité a été sérieusement mise en doute.
Nasser Levihaim, qui avait déjà reconnu les charges retenues contre lui lors d'une précédente audience, et les professeurs de théologie Faramarz et Farhad Kashi étaient les seuls à comparaître mercredi. ''Faramarz Kashi a accepté toutes les charges d'intelligence avec Israël, a déclaré à la presse l'avocat Esmail Naseri, porte-parole de la défense. ''Mais son frère cadet, Farzad, a démenti tous les chefs d'inculpation et son avocat a demandé sa libération.
Depuis le début du procès il y a un mois, la télévision iranienne a diffusé les aveux de deux accusés, ceux de Dani Tefilin, un vendeur de chaussures, puis de Shahrokh Paknahad, un professeur de théologie. Tous deux ont dit avoir été entraînés et payés par Israël pour récolter des informations confidentielles en Iran.
A l'issue de l'audience de mercredi, le juge a ajourné à lundi le procès, qui se tient devant un tribunal de Shiraz, à près de 900km de Téhéran. Selon, le responsable provincial de la justice Ali Amiri, interrogé mercredi, la cour ne devrait plus se réunir vraisemblablement que trois autres fois.
Procès de Chiraz: nouveaux "aveux" mais pas de preuves, selon la défense (AFP)
CHIRAZ (Iran), 15 mai - Les deux prévenus ayant comparu lundi dans le cadre du procès des 13 juifs iraniens à Chiraz (sud) accusés d'espionnage au profit d'Israël ont reconnu les faits mais aucune "preuve" ne les corrobore, selon la défense.Lors de la sixième audience devant le tribunal révolutionnaire, Asher Zadmehr, 54 ans, professeur de langues, et Farhad Seleh, 40 ans, ont "avoué" avoir participé à un réseau, portant à huit --sur les neuf accusés ayant déjà comparu depuis l'ouverture du procès le 13 avril-- le nombre des prévenus ayant admis les accusations d'espionnage. M. Zadmehr "admet avoir participé à un réseau, avoir collecté des renseignements, et collaboré avec un Etat étranger, en l'occurence Israël", a déclaré aux journalistes Me Ismaïl Nasseri, porte-parole de la défense. "Il a nié toutes les accusations de possession d'armes", selon son avocat.
Lors de l'audience à huis clos Farhad Seleh, enseignant de théologie, a également "avoué", selon un responsable de l'autorité judiciaire à Chiraz Hossein-Ali Amiri. Il a aussi affirmé que les deux accusés ont "pris des photos et recueilli des informations de centres militaires électroniques et médicaux iraniens", qu'ils communiquaient à "des responsables du réseau d'espionnage". "C'est alors que les photos et les informations étaient envoyés au Mossad israélien", a poursuivi M. Amiri. Il a également affirmé que "le personnage clé" de ce réseau d'espionnage vivait à l'étranger, sans autres précisions alors qu'un des prévenus, Hamid Tefilin, avait été présenté par la justice iranienne comme "le principal accusé" et "cerveau" du groupe.
L'Iran libère les treize détenus juifs (Aroutz 7 - Israel)JERUSALEM, 20 février 2003 -- Les autorités iraniennes ont libéré, ces dernières semaines, treize Juifs qui avaient été condamnés à de lourdes peines de prison pour "espionnage au profit d'Israël". Ce n'est que mercredi cependant que de hauts responsables politiques israéliens ont été informés de ces nouvelles mesures en faveur des détenus juifs.
Cette nouvelle initiative prise par les dirigeants iraniens est certainement liée à la crise irakienne. Ces derniers redouteraient en effet les retombées de la politique des Etats-Unis dans la région du Golfe persique après leur intervention militaire en Irak.
Au départ, seuls huit des treize prisonniers avaient été autorisés à regagner leur domicile pour un congé prolongé mais par la suite, les cinq autres ont également été libérés il y a quelques jours. Les autorités iraniennes leur ont alors indiqué qu'ils ne devaient plus retourner en prison.
En Israël, cette nouvelle a été accueillie avec satisfaction et des hommes politiques ont qualifié ce revirement de "très intéressant".
T'en veux d'autres comme ça ??
Il y en a un paquet !!
Toi qui sais tout, dis-nous si Gueddafi n'a pas eu quelque chose en contre-partie de son paiment pour la libérations des otages.