Al Sahabas selon les chiites

SALAM

Oui ! Si on opte pour la démarche rafidienne dans la collecte, la narration, l’analyse et l’interprétation des faits historiques. Je dis bien démarche et non pas raisonnement rafidien ; la raison a deserté de chez eux.

Pour changer un peu :

Le client : j’aurais voulu du savon de Marseille.
Le vendeur : il n’y en a plus.
Le patron : Un bon vendeur doit toujours penser à un produit de substitution. Tu aurais pu lui proposer du savon d’Alep, du savon parfumé ou du liquide vaisselle. Compris !!
Un autre client : j’aurais voulu du papier toilette SVP.
Le vendeur : on n’en a plus, mais je vous propose à la place du papier de verre !!

Ceci me rappelle une certaine démarche.

confiture a écrit:

SALAM

Oui ! Si on opte pour la démarche rafidienne dans la collecte, la narration, l’analyse et l’interprétation des faits historiques. Je dis bien démarche et non pas raisonnement rafidien ; la raison a deserté de chez eux.

Pour changer un peu :

Le client : j’aurais voulu du savon de Marseille.
Le vendeur : il n’y en a plus.
Le patron : Un bon vendeur doit toujours penser à un produit de substitution. Tu aurais pu lui proposer du savon d’Alep, du savon parfumé ou du liquide vaisselle. Compris !!
Un autre client : j’aurais voulu du papier toilette SVP.
Le vendeur : on n’en a plus, mais je vous propose à la place du papier de verre !!

Ceci me rappelle une certaine démarche.

Salam;
Lorsqu'on lit les écrits des "savons" sous nids on comprend que le MENSONGE historique est une seconde vertu, et pour cause, vous avez 3 à 30 versions du même fait, selon l'auteur du Sahih, selon celui qui a vu de ses propres yeux ce qu'il ne peut avoir vu, puisqu'il était ailleurs ce jour là, et ce qui me choque toujours, c'est le crédit donné aux narrateurs comme abou "la chatte", qui affirme qu'il a traversé la mer séparant la côte jusqu'à l'Ile de Bahrein, aux côtés d'Abou el Ulla, à la tête de 4000 CAVALIERS, et une fois dans l'île de BAHREIN, pas une goutte d'eau sur les SABOTS des cheveaux.... et cela sans parler de son MEZZOUED..... qui nourrissait la LOGISTIQUE de Rassoulou Allah, aswaws, dommage que LAMARI et NEZZAR, ne l'aient pas eu à leur côté..... il aurait dirigé le quotidien LE MATIN "des généraux", et ils auraient remporté la VICTOIRE médiatique, puisque les FAUSSAIRES sont cités encore 15 siècles aprés avoir INVENTE leurs mensonges, et surtout ATTENTION vous risquez de perdre la "vie", pour avoir émis des doutes sur leurs KHOURAFATES devenues pour les NAIFS SALAFIS, plus SACREES que le CORAN...

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Ya ithviriw on te demande pour la énième fois, donne les dalils de tes histoires qui sont à la limite du burlesque.

Ouaga a écrit:

Ya ithviriw on te demande pour la énième fois, donne les dalils de tes histoires qui sont à la limite du burlesque.

Assalamou ‘alaïkoum wa Rahmatou Allahi wa Barakatouhou ;

Allahouma Salli 3ala Mouhamad, wa Aali Mouhamad ;

I.- Sources dissimulées et non justifications de hadiths, de chaînes interrompues :

Abou Houreyra, ne faisant pas de distinction entre ceux qu’il a reçus à partir d’intermédiaires, qu’il ne cite pas, et ceux qu’il prétend avoir reçus directement de la bouche du Prophète, sans témoin, il est donc impossible de les classer ailleurs que dans la catégorie des chaînes « interrompues ou incomplètes », et en conséquence, ils ne peuvent être administrés comme preuves.

Pour éviter tout doute sur cette constatation, voici un exemple de ce qu’il affirme:
1.- « Rassoulou Allah, aswaws, a dit à son oncle Abi Talib, as : Dis « la Illaha Illa Allah », j’en témoignerai pour toi au Jour de la Résurrection ». Il répondit : « à condition que les Qoreychites ne m’insultent pas » (Muslim, Livre de la foi : V1p31 du Sahih).

Or, il est de notoriété publique que Abi Talib, as, est décédé avant l’arrivée d’Abou Houreyra, au Hijaz de quelques dix années, en sus du fait qu’il ne dit pas qui lui a fait part de ce « hadith » pour le moins suspect et irraisonnable !
Mais Abou Houreyra, semble avoir vu un film, puisqu’il omet de nous dire, comment il a pu les voir et les entendre, il aurait fallu peut-être qu’il nous en livre la bande sonore ou la vidéo !

2.- Il nous rapporte : « Rassoulou Allah, aswaws, lorsque lui a été révélé le verset : « Avertis tes plus proches parents » (Achou3ara, les poètes, 26-214), a dit : « O Qoreychites, je ne vous cacherai rien » (Boukhari, Sahih V2p86, voir également, Muslim et Ahmed).

Or il est de notoriété publique que ce verset a été révélé au tout début de la Révélation, et avant sa diffusion à la Mecque, et qu’à sa Descente, Abou Houreyra, était encore païen et vivait au Yémen, et qu’il n’est venu au Hijaz, que près de vingt (20) ans après la Révélation de ce verset !
Où se trouvait-il donc pour qu’il ait le culot de dire : « le Prophète s’est levé, et s’adressa aux Qoreychites pour leur dire… ! » Il nous raconte son histoire comme s’il en était témoin et qu’il l’avait vu se mettant debout en train de haranguer les Qoreychites. Son témoignage est digne du film : « Le Messager » du regretté Mustapha Al Akad ou de Cécile B. de Mills.

3.- Il nous apprend que le Prophète priait durant le « kounout », en disant : « O Allah, Sauve Salma bin Hicham, Sauve Al Walid bin Al Walid, Sauve 3Iyach bin Abi Rabi3a, O Allah, Sauve les pauvres miséreux croyants empêchés d’émigrer par les polythéistes : Hadith dit authentique !!! (Boukhari, Sahih, chapitre des prières pour vaincre les Polythéistes et les frapper d’un tremblement de terre : V2/105)

Or, il est clairement établi, que cette prière rapportée par d’autres, a été effectivement accomplie sept (07) années AVANT la conversion d’Abou Houreyra. Où se trouvait donc le scénariste Abou Houreyra, qui nous présente ce film, comme s’il en était le producteur et le témoin de première main ?

4.- Abou Houreyra a dit : « Mouhamad, peut-il vous protéger ? Ils lui répondirent : Oui. (Muslim, chapitre de Allah énonce : « 6] Prenez garde! Vraiment l'homme devient rebelle » Al3alaq,96 » Sahih 2/467)

Si cette question avait été effectivement prononcée par Abi Jahl, elle a donc dû avoir été dite bien avant la conversion d’Abou Houreyra et sa venue du Yemen, de quelques vingt (20) années. Or, cela ne le gêne pourtant pas pour nous en parler comme s’il en était un témoin oculaire et qu’il l’a entendue de ses propres oreilles !

5.- Où se trouvait donc Abou Houreyra, pour nous donner témoignage de la bataille de Araji3 et sur son Emir 3Assim Bin Thabit Al Ansari, qui y a rencontré le martyr.
Or cette bataille a eu lieu durant Safar de l’an 4 H., c'est-à-dire quelques 3 années avant sa conversion ? (Sahih Boukhari, Livre du Jihad et des relations 2/117)

Quiconque est honnête, devrait reconnaître que les habitudes de ce Compagnon, sont de se mettre aux premières loges, de tout ramener à sa triste personne, et de s’approprier tout ce qu’il entend ou croit avoir entendu, sans se soucier ni de la précision, ni du détail, ni de l’authenticité de ce qu’il rapporte !

Cela est plus que suffisant avec ces quelques exemples, pour illustrer l’infidélité de ses témoignages.

Ahmed Amine, l’Egyptien le chercheur contemporain du début du siècle passé a bien relevé ces élucubrations : (« Fedjr Al islam », p.262 et suivantes, en 2 du ch.6) : "Il est évident qu’il ne se contente pas de citer ce qu’il prétend avoir entendu Rassoulou Allah, aswaws, dire, mais il s’approprie sans en nommer les rapporteurs, ce qu’il pense avoir retenu de leurs dires ; ce qui donc rend impossible toute vérification de ses allégations le plus souvent « mensongères »."

6.- Abou Houreyra a été contraint de récuser ses propres sources, lorsqu’il a été mis en défaut par Aicha et Oum Salama : Selon donc Abou Houreyra, Rassoulou Allah, aurait dit : « Celui qui se trouve en était d’impureté à l’aube, n’a pas à jeûner ». Quand il fut pris en défaut par Aicha et Oum Salama, il n’a rien trouvé de mieux que de se disculper en attribuant son « hadith forgé » à Fadhl Ibn Al ‘Abas, (décédé entre-temps, évidemment, car les morts ne peuvent pas se défendre !). Il aura l’audace donc dire devant ses accusatrices, qu’il n’a effectivement pas entendu ce hadith directement de la bouche du Prophète, mais que sa « vigilance » aurait été prise en défaut par le « mensonge » de Fadhl Ibn Al ‘Abas, rien que ça !
Mais en fait cette effronterie s’explique par le fait que cette affaire s’est déroulée alors que son protecteur Marouane bin Al Hakim était alors émir de Médine du temps de Mouawiya, (Boukhari, Sahih : 1/225 ch. du jeûneur en état d’impureté à l’aube).
Les commentateurs du Sahih Boukhari comme Al Kastalani et d’autres ont rapporté cet épisode.

Cependant, il faut savoir qu’Al Fadhl a trouvé la mort, le jour du Jenadin, durant le Califa de Abou Bekr, d’autres disent le Jour de Marj Assafar en l’an 13 H, d’autres durant la bataille de Yarmouk en l’an 15 H, durant le Califa de Omar, alors que bien d’autres disent qu’il est tout simplement mort de la Peste, à Damas en l’an 18 H. mais qu’en tout état de cause, il n’était point vivant quand Abou Houreyra, rejetait sur lui, ses propres mensonges, en l’an 20 H, pour se tirer à bon compte du mauvais trépas dans lequel il s’était hasardeusement fourgué une nouvelle fois.

Comment donc, peut on encore donner quelque crédit que ce soit, à un impudent effronté qui attribue au Prophète, aswaws, des paroles qu’il n’a point entendue de lui, et que malgré cet aveu de forfaiture, on continue de donner un quelconque crédit à ses forfanteries, même en se contentant de simplement relater ses « hadiths » ?

Il est peut-être utile de recenser tout ce qui aurait pu être rapporté des dires du Prophète, aswaws, mais il est absolument important que ces « hadiths » ne fussent en aucune façon considérés comme authentiques et surtout servir de preuves, du simple fait qu’ils auraient été rapportés par un témoin honnête. Ils doivent nécessairement être classés au chapitre des « hadiths » de ceux dont la chaîne de transmission est douteuse, et ce, jusqu’à ce que les transmetteurs se révèlent être probes.

En d’autres termes, la probité du narrateur (ce que n’est pas Abou Houreyra, de toute évidence), doit être une condition pour avérer tout hadith qu’il rapporte et donc le conserver. Cependant il est impossible de conserver un hadith dont les intermédiaires sont inconnus ou bien si eux-mêmes n’ont pas confirmé les dires que d’autres Compagnons leur attribuent.

Pour résumer cette partie des infractions innombrables, commises contre la vérité et l’intégrité des « hadith », par Abou Houreyra, au niveau de l’omission tactique des chaînes de transmission. Comme généralement, il ne nomme pas ses sources intermédiaires, et que de toute évidence, ses hadiths prêtent à équivoque, il est nécessaire de rejeter par précaution, tous les hadiths non confirmés par d’autres sources plus intègres, que rapporte Abou Houreyra, en application de la « règle de précaution », au sujet des équivoques possibles ou circoncises.

II.- Prétentions d’avoir assisté à des évènements auxquels il ne peut avoir participé :

Nous avons été amenés à douter de la participation de Abou Houreyra, à des évènements auxquels il ne peut tout simplement pas avoir participé personnellement.

En voici un échantillon.

1.- « Je suis entré chez Roukya, « fille » de Rassoulou Allah, aswaws, et femme de Othmane, alors qu’elle avait entre le mains un peigne. Elle m’a dit : Rassoulou Allah, aswaws, vient de sortir de chez moi, j’ai peigné ses cheveux. Il m’a dit : Comment va Aba Abd Allah, (Othmane) ? J’ai répondu qu’il allait bien. Il m’a dit : Sois généreuse avec lui, il est de la nature de ceux de mes Compagnons qui me ressemblent le plus. (Al Hakem, Al Moustadrak, Ahwal Roukya 4/ 48, il le prétend authentique au sens de la chaîne de transmission !!!).

Il est regrettable de constater que Al Hakem, ose le classer comme « authentique », quand nous savons que Roukya est bien morte en 3H., donc au moment de la victoire de Badr, alors qu’Abou Houreyra, ne s’est présenté à Médine où il s’est converti, qu’en 7H. Comment a-t-il donc pu faire un pas dans le temps, pour y recueillir les confidences de Roukiya, et où se trouve donc la « vigilance » et l’intégrité de Al Hakem ?

Adhahaby, a narré ce dire, dans son abrégé du Moustadrak puis il a commenté : « Authentique mais il a simplement mis en doute la chaîne de transmission, vu que Roukya est décédée au temps de Badr, et Abou Houreyra, ne s’est converti qu’à l’époque de Khayber.

2.- A propos de pertes de lucidité (sic !) de Rassoulou Allah, :saws:, bien sûr et heureusement selon Abou Houreyra uniquement, il nous raconte : Le Prophète, aswaws, a fait la prière du dhohr OU du Asr (notez déjà qu’Abou Houreyra, ne sait plus si c’est le Dhouhr ou le ‘Asr, lui dont les promoteurs ont dit que la mémoire est plus fiable qu’un disque dur de CP), il aurait donc salué après les deux premières prostrations, puis Dhou Elyadeyn, lui a dit : « As-tu réduit la prière, ou as-tu oublié ? »

Or, ce Dhou Elyadeyn, est mort en martyr à Bedr, donc AVANT qu’Abou Houreyra, qui donc ne le connaît pas, se soit converti, 4 années plus tard !

Mais Abou Houreya, ne se contentait pas de mentir comme un arracheur de dents, mais il osait donner du piquant à ses rêvasseries : Un échantillon : « Nous avons conquis Khaybar, nous n’y avons pris comme butin, ni l’or, ni l’argent, mais nous en avons pris les bovins et les camélidés, les marchandises et les murs ! » ( Booukhari, Ch. de la conquête de Khayber : Sahih 3/37) !!!
Or, il est de notoriété publique, qu’Abou Houreyra, ne s’est présenté au Hijaz, et ne s’est converti à l’Islam, qu’APRES AL FETH. En conséquence, les commentateurs des Sahiheyn, ont tenté de sauver la crédibilité des Boukhari et consort, en jouant sur les mots : Al Feth, est devenu soudain la victoire remportée par les musulmans à Khayber, et pour sauver la face de l’arrogant Abou Houreyra, pris de nouveau en flagrant délit de mensonges, ils ont dit qu’en fait celui-ci voulait en fait dire : « nous les musulmans, Abou Houreyra s’y confondant » Ouf les Boukhari et son poulain Abou Houreyra, ont eu chaud !(Voir page 145 du volume 8 des deux commentaires de Boukhari édités ensemble en 12 volumes, que sont le Irshad Assari de Kastallani et aussi le Tuhfet Al Bari, d’Al Ansari.
On y trouvera donc en explication, qu’Abou Houreyra n’a pas assisté à la conquête de Khayber.
As Sindy, a fait de même dans son commentaire de ce « hadith farfelu » dans ses notes imprimées en marge du « Sahih » !!!

SALAM,

Abû Bakr et la zakât



Après que Abû Bakr (ra) eût été reconnu comme successeur du Prophète (salla Allahou aalayhi wa sallem), certaines tribus, qui étaient musulmanes de fraîche date, renoncèrent à l’Islam. D’autres suivirent des imposteurs qui, comme Mousaylama, prétendaient être des prophètes. D’autres tribus encore refusèrent de s’acquitter de la salât ou de la zakat D’autres, par orgueil et par vanité, refusèrent de payer la zakat à Abû Bakr (ra). Certains, enfin se refusèrent à payer la zakat en vertu d’une interprétation erronée d’un verset coranique. Selon eux, à l’origine, la zakat ne devait être versée qu’au Prophète (salla Allahou aalayhi wa sallem). Ils affirmèrent en effet que seul le Prophète (salla Allahou aaleyhe wa sallem) avait le droit de percevoir la zakat de leur accorder la purification et la bénédiction en récompense, et d’invoquer Dieu en leur faveur, citant le verset :
<< Prends de leurs richesses une aumône (sadaqa) avec laquelle tu les purifies et tu les bénis et prie pour eux car ta prière leur est une source d’apaisement. Dieu est parfaitement Audiant et Sachant >> (9:103).

Ceux qui refusaient de payer la zakat en vertu de cette interprétation oubliaient, ou feignaient d’oublier, que ce message n’était pad destiné au Messager de Dieu (salla Allahou aaleyhi wa sallem) en tant que Prophète seulement, mais en tant que chef et leader (imam) des musulmans. Le prélèvement et la distribution de la zakat aux ayant droits sont partie intégrante de l’organisation et de l’administration de la société musulmane, au même titre que l’application du code pénal. Après le Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem), la responsabilité de ces fonctions devait revenir à ceux qui allaient prendre les rênes des affaires de la oumma en qualité de chefs et de leaders.
D’autre part, toute personne qui faisait serment d’allégeance au Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem) s’engageait, entre autres, à prier régulièrement et à s’acquitter de la zakat; les deux étant tout simplement inséparables.
Parce qu’il veillait à la protection et à la progression de l’Islam, Abû Bakr (ra) choisit de combattre ceux qui refusaient de payer la zakat à reprendre les rangs et à se conformer aux engagements pris en faisant serment d’allégeance au Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem). Omar (ra) préféra sur le moment ne pas combattre ceux qui refusaient de payer la zakat et confronta Abû Bakr (ra) à ce sujet. Aboû Hourayra (ra) nous a rapporté la dispute et son règlement :
A la mort du Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem), quand Abû Bakr (ra) devint calife et que certaines tribus renièrent leur foi, Omar (ra) dit au calife : << Comment peux-tu combattre les gens alors que le Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem) a dit : <<J’ai reçu l’ordre de combattre les gens jusqu’à ce qu’ils disent : la ilâha illâ Allâh. Quiconque affirme cela, sa vie et ses biens sont inviolables, sauf pour ce qu’il doit en vertu de cette foi, et pour lequel Dieu lui demandera des comptes >>. A ceci Abû Bakr (ra) répondit, << je ferai la guerre à quiconque dissocie la salât de la zakat, car la zakat est le dû de la richesse. Par Dieu, je les combattrai s’ils refusent de me donner, fut-ce une chevrette qu’ils avaient l’habitude de donner en guise de zakat du vivant du Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem)>>. Omar (ra) commenta par la suite : << Par Dieu j’ai compris que c’était Dieu qui avait guidé Abû Bakr vers cette décision, et que c’était la voie à suivre >>.

Ibn Zayd dit également à ce propos :
<< La salât et la zakat ont été prescrites ensemble ; elles n’étaient pas dissociées l’une de l’autre >>, appuyant son argument du verset suivant : << S’ils reviennent à Dieu, qu’ils pratiquent correctement la prière et donnent l’aumône légale, ce sont alors vos frères dans la foi >> (9: 11). C’est pourquoi Abû Bakr (ra) refusa la salât sans la zakat, ajoutant : <<Dieu accorde Sa miséricorde à Abû Bakr (ra) ; il n’y avait pas plus éclairé que lui >>, entendant par là son insistance à combattre ceux qui avaient dissocié la salât de la zakat >>.

Il y eut ce désaccord entre Abû Bakr et Omar, parce que Omar (ra) et ceux qui pensaient comme lui s’en tinrent au sens littéral du texte ; ils considérèrent que le fait de devenir musulman en prononçant la chahâda rendait la vie et les biens de l’individu inviolables et en conséquence ne permettait pas qu’on les combatte. Mais Abû Bakr (ra) s’en tint à la parole du Prophète ( salla Allahou aaleyhi wa sallem) : << Sauf pour ce qu’il doit >>, et considéra la zakat comme le dû sur la fortune qui, si elle n’est pas payée, fait perdre à l’individu la protection mentionnée. De même, il comprit que, si la salât et la zakat sont liées dans presque tous les versets coraniques et les hadith du Prophète ( salla Allahou aaleyhi wa sallem), cela signifie qu’elles sont destinées à rester inséparables.
Du moment que les deux parties étaient d’accord sur le fait que le refus d’accomplir la prière était une preuve évidente de l’apostasie, tout comme le fait de suivre celui qui prétend à la Prophétie, le refus de payer la zakat devait aussi être considéré comme preuve d’apostasie et son auteur devait être combattu. Abû Bakr (ra) parvint ainsi à convaincre les autres Compagnons de la rectitude de son interprétation ( ijtihâd
Quand il jugea bon de faire la guerre à ceux qui refusaient de s’acquitter de la zakat de les tenir pour apostats tant qu’ils n’auraient pas fait acte de repentir et qu’ils ne se seraient pas acquittés de la salât et de la zakat… De cette manière le désaccord sur ce sujet délicat prit fin, et l’unanimité se fit sur la décision de combattre ceux qui refusaient de payer la zakat. Cette décision revêtait une importance capitale pour préserver l’Islam des tentatives pernicieuses de le détruire pilier par pilier, à la suite de l’échec des tentatives de le détruire en bloc. Sans l’attitude intransigeante d’Abû Bakr (ra), puis du soutien des Compagnons, l’Islam ne serait pas resté intact; tout au plus, il aurait été confiné à la Mecque et à Médine, tandis que l’apostasie et le désordre aurait dominé l’ensemble de la péninsule arabique.


Ali (ra) ayant fait serment d’allégeance à Abû Bakr (ra), ses authentiques partisans, se seraient-ils permis de ne pas s’acquitter de la zakat ??

Le prince des ténèbres confondrait-il la sagesse de ces Hommes avec les folies des despotes de la madjoussie d'avant l'Islam ?
Wallahi tes insultes envers eux n'est que la preuve manifeste du DJEHL dans lequel tu te complais, hafadana Allah.

confiture a écrit:

SALAM,

Abû Bakr et la zakât

Ali (ra) ayant fait serment d’allégeance à Abû Bakr (ra), ses authentiques partisans, se seraient-ils permis de ne pas s’acquitter de la zakat ??

Le prince des ténèbres confondrait-il la sagesse de ces Hommes avec les folies des despotes de la madjoussie d'avant l'Islam ?.....

Tout droit sorti d'une énième Halaka, remplacée depuis peu par Internet, notre Mister, c'est juste, puisque c'est écrit dans les LIVRES POLEMIQUES SOUNIS, nous fait partager sa dernière TROUVAILLE.

Et il s'attend à ce que au GARDES à vous, nous disions:

"Tout a fait d'accord avec MISTER "puisque c'est écrit dans les livres", et même si cette OPINION, est la seule que l'ont m'ait fait INGURGITER à coup de matraquage IDEOLOGIQUE, et que l'on m'ait CACHE et TU la VERITE, que mes yeux aveuglés par les yeux du NASSIBISME, ne peuvent discerner".

Sayed Al Sahaba, Amir Al Mou'minin al Imam Ali, as, N'A JAMAIS prêté "allégeance durant les 6 mois de la vie de Sayida FATIMA Ezzahra, as", aux REBELLES de Sakfet Bani Sa'ad, en TEMOIGNE sa KHOTBA ECHAKCHAKYA.

Il a par contre APRES la mort de Sayidat Ennissa Al 'alameyn, Lalla Fatima Ezzahra, as, accepté de ne pas entretenir l'OPPOSITION systématique aux Chouyoukhs, Califes de facto, mais de s'accomoder de leur ILLEGITIME prise de POUVOIR, et PRESERVER l'Unité des rangs, SANS JAMAIS renoncer à son CALIFA de JURE.....

Mais évidemment ces nuances sont trop subtiles pour le NIGAUD que tu es et que tu refuses de reconnaître, par simple IMMATURITE intellectuelle.

Quant à nous dire qui sont ses authentiques PARTISANS, je pense que tu utilises la technique de SHARON et OLMERT ou BARAK, qui nous disent que seuls les PARTISANS de Abas, sont les authentiques Palestiniens, avec lesquels on peut discuter des conditions de SOUMISSION à la colonisation des TERRITOIRES occupés, à moins qu'ils ne soient CONSEILLES par quelque imam Wahaby ou Salafi, comme IBN JIBRIN, qui considère non seulement Hizb Allah, mais aussi HAMAS, comme "non authentiques musulmans" et comme de non authentiques "Palestiniens", car ils revendiquent la LIBERTE de leur patrie, et REFUSENT de se soumettre, et ce faisant constitue une EPINE dans le pied des colons, tout comme les chiites Ahl el Beyt, as, ont CONSTITUE depuis le PUTSH de Sakfet Bani Sa'ad, une EPINE ISLAMIQUE dans les "pieds des Califes de facto ", qui ont INSTITUE la DYNASTIE sounie des Chouyoukhs...

SALAM,

Bla bla bla, bla bla bla, et encore du bla bla bla. Si on déblaie ce textes de toutes les âneries insérées, il ne reste pas grand-chose : wallou, hatteche, errih fechbeck !!!
Un abyssal djehl et un aveugle fanatisme .
En dehors des âneries, il y a les mensonges. Dès qu'il est confondu, il nous inonde d'insultes quand il se débine pas en changeant de sujet.

Ô prince des ténèbres, est-ce que IBN KHALDÛN était salafo-wahabi à l'insu de son plein gré ??

Ibn Khaldûn dit :
Le droit de succession ( wilayat al-ahd) fait partie intégrante de la loi religieuse, et le consensus de la nation musulmane précise qu’il est permis et convenu. Ainsi Abû Bakr (ra) désigna Omar (ra) en présence des Compagnons du Prophète ( salla Allahou aaleyhi wa sallem). Ceux-ci ratifièrent ce choix et se sentirent tenus d’obéir à Omar (ra). De même, Omar (ra) nomma les six survivants des dix ( << prédestinés >), membres d’un conseil ( shûrâ) chargé de décider pour les Musulmans. Chacun d’eux s’en remit à son collègue. Quand ce fut le tour du dernier, Abd-ar-Rahmân b. Awf, il exerça un effort de réflexion personnelle (ijtihâd) et interrogea les Musulmans. Il constata que ceux-ci pensaient tous à Uthmanra) et à Ali (ra). Il préféra Uthmân, parce qu’il était d’accord avec lui pour suivre l’exemple des deux << cheikhs >> ( Abû Bakr et Omar ) en toute circonstance, sans faire appel à l’ijtihad. C’est ainsi que Uthmanra) fut désigné et qu’il fut nécessaire de lui obéir. Un grand nombre de Compagnons du Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem) étaient présents, aussi bien pour le choix de Omar (ra) que pour celui de Uthmân. Aucun n’exprima la plus légère critique. Ce qui montre qu’ils s’accordaient à reconnaître la justesse et la légalité de la procédure. On sait que le consensus a force de preuve.

On demanda à Ali (ra) : << Pourquoi y a-t-il désaccord sur votre nom, alors qu’il n’y en eut aucun sur Abû Bakr et sur Omar (ra) ? >> Il répondit : << Parce que Abû Bakr et Omar commandaient à des hommes comme moi, alors que je commande à des hommes comme vous. >>


وهم يدعون أن أبا بكر وعمر ومن اتبعهما ارتدوا عن الإسلام وقد علم الخاص والعام أن أبا بكر هو الذي قاتل المرتدين فإذا كانوا يدعون أن أهل اليمامة مظلومون قتلوا بغير حق وكانوا منكرين لقتال أولئك متأولين لهم كان هذا مما يحقق أن هؤلاء الخلف تبع لأولئك السلف وأن الصديق وأتباعه يقاتلون المرتدين في كل زمان

SALAM,

Bla bla bla, bla bla bla, et encore du bla bla bla. Si on déblaie ce textes de toutes les âneries insérées, il ne reste pas grand-chose : wallou, hatteche, errih fechbeck !!!
Un abyssal djehl et un aveugle fanatisme .
En dehors des âneries, il y a les mensonges. Dès qu'il est confondu, il nous inonde d'insultes quand il se débine pas en changeant de sujet.

Ô prince des ténèbres, est-ce que IBN KHALDÛN était salafo-wahabi à l'insu de son plein gré ??

Ibn Khaldûn dit :
Le droit de succession ( wilayat al-ahd) fait partie intégrante de la loi religieuse, et le consensus de la nation musulmane précise qu’il est permis et convenu. Ainsi Abû Bakr (ra) désigna Omar (ra) en présence des Compagnons du Prophète ( salla Allahou aaleyhi wa sallem). Ceux-ci ratifièrent ce choix et se sentirent tenus d’obéir à Omar (ra). De même, Omar (ra) nomma les six survivants des dix ( << prédestinés >), membres d’un conseil ( shûrâ) chargé de décider pour les Musulmans. Chacun d’eux s’en remit à son collègue. Quand ce fut le tour du dernier, Abd-ar-Rahmân b. Awf, il exerça un effort de réflexion personnelle (ijtihâd) et interrogea les Musulmans. Il constata que ceux-ci pensaient tous à Uthmanra) et à Ali (ra). Il préféra Uthmân, parce qu’il était d’accord avec lui pour suivre l’exemple des deux << cheikhs >> ( Abû Bakr et Omar ) en toute circonstance, sans faire appel à l’ijtihad. C’est ainsi que Uthmanra) fut désigné et qu’il fut nécessaire de lui obéir. Un grand nombre de Compagnons du Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem) étaient présents, aussi bien pour le choix de Omar (ra) que pour celui de Uthmân. Aucun n’exprima la plus légère critique. Ce qui montre qu’ils s’accordaient à reconnaître la justesse et la légalité de la procédure. On sait que le consensus a force de preuve.

On demanda à Ali (ra) : << Pourquoi y a-t-il désaccord sur votre nom, alors qu’il n’y en eut aucun sur Abû Bakr et sur Omar (ra) ? >> Il répondit : << Parce que Abû Bakr et Omar commandaient à des hommes comme moi, alors que je commande à des hommes comme vous. >>


وهم يدعون أن أبا بكر وعمر ومن اتبعهما ارتدوا عن الإسلام وقد علم الخاص والعام أن أبا بكر هو الذي قاتل المرتدين فإذا كانوا يدعون أن أهل اليمامة مظلومون قتلوا بغير حق وكانوا منكرين لقتال أولئك متأولين لهم كان هذا مما يحقق أن هؤلاء الخلف تبع لأولئك السلف وأن الصديق وأتباعه يقاتلون المرتدين في كل زمان

Ibn Khaldoun, était au service des princes SOUNIS, il était donc dans son rôle pour montrer PATTE BLANCHE et justifier sa bourse, sur ce chapitre quand on sait que de son temps, on vous décapitait pour la plus petite excuse.

Comme exemple, tes railleries de collégien, envers quiconque en sait plus que toi, au lieu d'apprendre et de profiter de l'aubaine d'avoir pour maître, Sidek Ithviriw, qui a ton âge comme expérience.

Mais, évidemment tu ne peux pas te refaire à ton âge, et au lieu d'apprendre en toute humilité et apprendre à dire que TU ne sais RIEN, mais que tu crois savoir, comme Iblis, qui se croyait meilleur que Sidna Adam, as, tu persistes à INSULTER, à railler, et à CONFONDRE les écrits de tel ou tel Ibn Khaldoun, ou Ibn 'arabi, qui dit exactement la même chose qu'Ibn Khaldoun, ce que tu ne savais sûrement pas, et tu croies me convaincre que puisque Ibn Khaldoun l'a dit, on doit le croire....

Pauvre naïf, je préfère m'en tenir à l'Histoire telle qu'elle a été relatée aussi bien dans les Sihahs, que par les historiens, et ensuite confronter tout cela, est me faire mon idée, et comme SEUL Le Coran est mon Guide, je ne pense pas me tromper, surtout que j'ai dans mes articles DEMONTE les "historiettes, d'un Abou Bekr, compagnon de la grotte, ce qu'il ne peut avoir été, sinon il serait IPSO FACTO démontré qu'il n'est pas croyant", Allah, ayant étendu Sa Sérénité UNIQUEMENT sur Rassoulou Allah, aswaws, et NON PAS sur son Compagnon.
Or, systématiquement dans les sourates du CORAN, à chaque fois que Allah, Gloire à LUI, a étendu Sa Sérénité, il l'a étendue sur "Son Envoyé et sur Ses croyants", à l'évidence dans l'affaire de la grotte, ce fameux Compagnon, " n'était pas croyant".
Si cela te convient que pour mériter le Compagnonage, Abou Bekr, perd son statut de "croyant à cette époque, là, grand bien te fasse"... sauf que tu n'en mesures pas les conséquences, car tu réfléchis à COURTE vue, "ahyini alyoum wa ektelni Ghadwa", comme tout BORNE que tu es.

2.- J'ai aussi démonté votre argument de "la conduite de la prière", sur ordre de Rassoulou Allah, aswaws, en vous ASSENANT Al Boukhari, Ahmed, Al Askilany et même vos thuriféraires compagnons d'Ibn Taymiya, le cheikh "islam al zanadika"...

Va refaire ta formation et apprends à DIALOGUER et rentre ta BAVE, la haine de quiconque en sait plus que toi, ne peut que te PARALYSER, dans ce Monde, et t'envoyer au SUPPLICE dans l'Autre Monde, pour OPPOSITION et HAINE du 'ILM et de ceux qui passent leur vie à le cultiver et à l'ENSEIGNER.

Tu es un menteur et tu dis une vérité.
Je n’ai pas beaucoup de connaissances, mais le peu que j’ai puisé dans ma religion me permet inchallah d’identifier le faux, et je n’ai nullement besoin de charlatan comme toi pour faire mon petit chemin. Qu’Allah épargne la masse des musulmans de tes conseils et de tes prédications.

Dans ce forum, des frères ont essayé de te raisonner (djazahoum Allah), qui par des dalils coraniques, qui par des hadiths, qui par des arguments de l’Histoire et enfin d’autres par la logique pour finir par les subtilités de la langue arabe. Rien n’y fait ; soubhan Allah !!

<< Dieu a scellé leurs cœurs et leurs oreilles. Et sur leurs yeux un bandeau ; et pour eux un grand châtiment >> (2 :7)
<<Il y a dans leur cœur une maladie : Dieu les fait donc croître en maladie . A eux, donc, un châtiment douloureux, pour avoir menti !>>

J’ai pris la traduction (du Coran) faite par M. Hamidullah (ra) ; je suppose que tu le connais pour ne pas dire que tu l’as côtoyé. Et vu ton état d ‘esprit et par respect pour sa mémoire, je préfère éviter d »évoquer sa position sur la question.

Ibn Khaldoun à la solde des sounni !!

HADANA ALLAH ; AMIN !

confiture a écrit:

Dans ce forum, des frères ont essayé de te raisonner (djazahoum Allah), qui par des dalils coraniques, qui par des hadiths, qui par des arguments de l’Histoire et enfin d’autres par la logique pour finir par les subtilités de la langue arabe. Rien n’y fait ; soubhan Allah !!



HADANA ALLAH ; AMIN !

Personnellement je ne cherche pas à le raisonner mais à démollir ses mensonges, et je n'ai pas beaucoup de mal à le faire el hemdoulillah.
Mais tu constateras que dans ses posts, une arrogance insufflée par Ibliss, et un trop plein de suffisance, le rendent imperméable à toutes vérités, bien au contraire il ramène des écrits faux, loin de toutes authenticités, et qu'il colle à El Bukhari.

Ouaga a écrit:

confiture a écrit:

Dans ce forum, des frères ont essayé de te raisonner (djazahoum Allah), qui par des dalils coraniques, qui par des hadiths, qui par des arguments de l’Histoire et enfin d’autres par la logique pour finir par les subtilités de la langue arabe. Rien n’y fait ; soubhan Allah !!

HADANA ALLAH ; AMIN !

Personnellement je ne cherche pas à le raisonner mais à démollir ses mensonges, et je n'ai pas beaucoup de mal à le faire el hemdoulillah.
Mais tu constateras que dans ses posts, une arrogance insufflée par Ibliss, et un trop plein de suffisance, le rendent imperméable à toutes vérités, bien au contraire il ramène des écrits faux, loin de toutes authenticités, et qu'il colle à El Bukhari.

PAROLES dites par deux comparses déculottés et RIDICULISES par des preuves irréfutables.
Mais comme nos deux LASCARS, n'ont rien à opposer comme arguments acceptables sur le plan du DIALOGUE constructif, ils s'auto-félicitent pensant que l'exercice consiste à RUER dans les brancards et à dire des inepties pour toutes formes de réponse, même si leurs réponses sont Hors sujet et sont tirées de sources NON CREDIBLES pour tout académicien honnête.

Circulez, il n'y a plus rien à voir, laissez nos deux GUIGNOLS nous faire croire qu'ils ont trouvé la "pierre philosophale"... ce sera bon pour leur EGO, entre deux chathates devant un public de MEDAHATE AL HAMAM

Citation :

PAROLES dites par deux comparses déculottés et RIDICULISES par des preuves irréfutables

Les preuves irréfutables rafidhies sont l'équivalent des discussions de tayabates el hammam chez les sunnites, elles n'ont aucune valeur historique ou religieuse.
Si tes "preuves" te semblent aquilon, elles me semblent comme un simple zéphir.
Sans chaines, sans narrateur, des hadiths forgés par des adeptes d'Ibnou Saba et Abou Loulou'a.